une petite derniere dans le meme style!
Un type entre dans un bar de Corrèze et s'installe au comptoir.
Après une minute, comme il n'a encore rien commandé, la patronne s'approche:
"Qu'est ce que je peux faire pour vous?"
"J'aimerais bien mettre ma tête entre vos seins pour en lécher toute la sueur!"
La patronne, estomaquée: "Comment? Vous n'avez pas honte? Grossier personnage!"
"Vous avez raison, je vous prie d'accepter mes excuses!"
"Bon, d'accord... alors, qu'est-ce que vous voulez?"
"Je voudrais bien faire couler de la crème Chantilly entre vos fesses et y goûter tout mon soûl!"
"Ca alors! C'est un comble! J'exige des excuses!"
"Pardon! Je suis vraiment désolé de vous avoir mise en colère!"
"Bon, ça ira pour cette fois! Alors, qu'est-ce qu'il vous faut?"
"Si vous pouviez vous mettre les jambes en l'air, pour que je puisse vous remplir le vagin de bière et en boire jusqu'à la dernière goutte?"
"Là, ça suffit! Vous avez dépassé les bornes! Je vais le dire à mon mari!"
La patronne exaspérée monte au salon, où le patron lit le journal dans son fauteuil.
"Il y a un type, en bas! Il a dit qu'il voulait lécher la sueur entre mes seins!"
Le patron se lève, furieux: "Quel culot! Je vais lui faire sa fête!"
"Il a dit aussi qu'il voulait me mettre de la Chantilly entre les fesses et la goûter!"
Le patron empoigne une batte de base-ball: "Je vais le tuer, ce saligaud!"
"Et pour finir, il a dit qu'il voulait me metter à l'envers et me remplir la chatte de bière!"
Le patron repose lentement sa batte: "Il a vraiment dit ça?"
"Oui, et il a ajouté qu'il en boirait jusqu'à la dernière goutte!"
Le patron se rasseoit dans son fauteuil, sans un mot, et reprend sa lecture.
Sa femme s'étonne: "Comment, tu ne vas pas le corriger?"
"On ne discute pas avec un type capable de descendre quinze pintes de bière d'un seul coup."