le probleme est que ces SPAMS sont balancés par des robots et pour les repérée c'est coton mais prevenez quand meme les autorités
SEFTI
Service d'Enquête des Fraudes aux Technologies de l'Information
Service spécialisé à la lutte contre la criminalité informatique dépendant de la Police judiciaire de la Préfecture de Police de Paris
163 Avenue d'Italie
75013 Paris
01 40 79 67 50 Standard / secrétariat
01 40 79 77 20 Télécopie
01 40 79 67 31 Daniel Padoin
01 40 79 77 21 Fax
(Daniel PADOUIN, commissaire principal – ex responsable du SEFTI.)
Le SEFTI est devenue une brigade la BEFTI aujourd'hui sous la responsabilité du commissaire Pascal COURTIN.
Ses 22 fonctionnaires de police, placés sous les ordres du commissaire Pascal COURTIN , nouveau responsable du SEFTI, sont surtout saisis pour des contrefaçons de logiciels ou des copies de fichiers MP3, la majorité des intrusions dans des sites Internet étant le fait de ``hackers'' avides de reconnaissance plus que d'escrocs.
lancé le 11 février 1994. Relevant de la sous-direction des affaires économiques et financières auprès de la Direction de la Police Judiciaire de la Préfecture de Police de Paris.
Sa compétence territoriale s'étend à Paris et aux trois départements de la petite couronne que sont les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne.
En marge de ses propres investigations et de l'assistance technique qu'il fournit aux autres services de la police judiciaire, le SEFTI sensibilise les organismes publics ou privés sur le "hacking" et sur les parades à adopter. Le SEFTI a une obligation de transparence et préfère utiliser des méthodes classiques et légales. Le SEFTI apporte son concours aux enquêtes concernant des infractions commises au moyen d'outils informatiques. Il remplit également une mission pédagogique en assumant une action d'information auprès d'organismes privés ou publics susceptibles d'être confrontés aux problèmes de fraudes informatiques.
Lorsque le SEFTI est saisi d'une plainte, l'investigation se poursuit dans le cadre classique des poursuites policières : constatations (recherche des "empreintes" laissées par le pirate et des fichiers qui ont pu le piéger), auditions et perquisitions. Pour les cas les plus complexes, le SEFTI est assisté d'un expert judiciaire ou d'un ingénieur désigné par un magistrat. L'obstacle majeur auquel se heurtent les enquêteurs est le laps de temps qui s'est écoulé entre les faits et la plainte.
Les inspecteurs effectuent des sondages en s'immisçant dans des forums des discussion, ou en se connectant sur des sites soupçonnés de pourvoir des activités illégales (Trafic de matériels frelatés, Hacking, warez,…)
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DCPJ
Décret n° 96-74 du 25 janvier 1996 art. 1 Journal Officiel du 1er février 1996
Les organes de coopération internationale policière placés au sein de la direction centrale de la police judiciaire sont les suivants :
1° Le bureau central national-France de l'organisation internationale de police criminelle Interpol ;
2° Le bureau national chargé de la gestion opérationnelle de la partie nationale du système d'information Schengen, dénommé Sirene ; (le système informatique se dénomme N-SIS)
3° L'unité centrale de coopération policière internationale, désignée par l'article 40, paragraphe 5, de la convention d'application de l'accord de Schengen du 14 juin 1985, signée à Schengen le 19 juin 1990 ;
4° L'unité nationale de l'Office européen de police, dénommé Europol.
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BCRCI
(Brigade Centrale de Répression de la Criminalité Informatique)
rattachée à la Direction Centrale de la Police Judiciaire
101 rue des Trois Fontanot
92000 NANTERRE
Téléphone :01 40 97 87 72, 01 40 97 83 12 ,Télécopie : 01 47 21 00 42
créée et dirigée par le commissaire principal Marcel Vigouroux (né en 1946) aujourd'hui à la retraite, patron de la BCRCI, titulaire d'un DESS (diplôme d'études supérieures spécialisées) de "méthode expertale et arbitrale en informatique et techniques associées."
Mr LEGUILLOU : 01 40 97 80 14
Le BCRCI a compétence pour mener des enquêtes judiciaires sur tout le territoire national.
A la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), c'est la brigade centrale de répression de la criminalité informatique (BCRCI), créée en 1994 au sein de la sous-direction des Affaires économiques et financières dirigée par Mireille Ballestrazzi, qui est chargée d'une "mission propre d'enquêtes judiciaires et d'une mission générale de coordination". Ses dix policiers assistent les services centraux extérieurs, centralisent tous les renseignements judiciaires, constituent et tiennent à jour une base de données à but opérationnel. La BCRCI assure aussi une mission de formation initiale et continue des enquêteurs spécialisés des SRPJ. Au plan international, elle gère le "Bureau central national" d'Interpol (BCN) pour la fraude informatique, constitue le "point de contact central national" d'Interpol et participe aux travaux du Groupe de travail européen sur la criminalité informatique (neuf pays représentés).
Créé fin 1994 et installé à Nanterre, la douzaine d’inspecteurs qui se consacrent à la chasse aux pirates passe encore une partie notable de son temps - très exactement la moitié - à se former aux techniques informatiques. La BCRCI a laissé sa place en 2000 pour constituer le noyau dur de l'office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLTCTIC).